Dimanche 6 septembre 2015, 30 ans après, interviewé par Médiapart, le colonel Jean-Luc Kister (nom de code Alain Tonel), le poseur de la bombe qui a coulé le Rainbow Warrior dans la nuit du 10 au 11 juillet 1985, raconte, à visage découvert, dans les moindres détails, ce qu’il s’est passé. Et ses premiers mots sont des excuses pour la famille de Fernando Pereira (tout particulièrement sa fille), pour Greenpeace et pour le peuple néozélandais.